A l’APA, nous nous intéressons à tout ce qui peut avoir un impact positif sur l’avenir, autant de nos sociétés que de notre planète.

Aussi aujourd’hui, nous allons vous parler de ce que l’on appelle par l’anglicisme « Low Tech », et qui signifie « innovation sobre ».

Par opposition à la high tech, cette technologie se veut simple à mettre en œuvre, peu consommatrice en ressources et en matériaux.

Les low-tech sont des technologies conçues pour être utiles, durables et accessibles à tous. Elles obéissent à plusieurs définitions dont nous allons tenter de faire le tour. Utiles. Durables. Accessibles. Telles doivent être les low-tech selon le Low-tech Lab. Cet ensemble de technologies, de services et de savoir-faire répondent à des besoins essentiels, comme l’énergie, l’alimentation, l’accès à l’eau, l’habitat ou encore la santé, bien que cet aspect ne fasse pas l’unanimité au sein de la communauté, certains refusant que les low-techs soient réduites à « l’essentiel ». Source : Eléonore Solé – Futura Tech

Les low-tech sont donc bien plus que des solutions techniques ressorties du passé ou bricolées, elles portent en elles des dimensions organisationnelles, systémiques, culturelles voire politiques et philosophiques . Cela rejoint en ce sens les propos d’Arthur Keller, pour qui la démarche low-tech est « une approche, une méthode, une vision, une philosophie, presqu’une culture, dépassant largement la question technologique stricte. Une démarche d’ensemble qui permet de se remettre en conformité avec les limites planétaires, c’est-à-dire de ne pas consommer davantage d’énergie, de matériaux et de ressources que ce que la Terre peut durablement fournir »

 

Voici un exemple d’expérience « Low Tech », réalisé sur 4 mois par un jeune ingénieur :